La récolte céréalière 2024/2025 devrait atteindre 339,6 millions de tonnes
Le volume estimé par Conab représente une augmentation de 14,2% par rapport au cycle précédent
La récolte céréalière brésilienne 2024/2025 devrait s'élever à 339,6 millions de tonnes, selon les projections de la Compagnie nationale d'approvisionnement (Conab).
Le volume représente une augmentation de 14,2 % par rapport au cycle précédent. Les données sont incluses dans la 10e enquête sur les récoltes, publiée la semaine dernière à Brasilia, dans le District fédéral.
Augmentation de la superficie Cette estimation tient compte d'une combinaison de conditions météorologiques favorables, d'une expansion des superficies cultivées, d'investissements technologiques accrus et de mesures d'incitation publiques. La superficie totale cultivée du pays devrait atteindre 81,8 millions d'hectares, soit une augmentation de 2,3 % par rapport au cycle précédent. Bien que des précipitations excessives aient entravé les semis de cultures d'hiver dans le sud du pays, comme le blé et l'avoine, la Conab estime que les autres cultures progressent de manière satisfaisante.
Maïs et soja La production de soja devrait atteindre un nouveau record, avec une estimation de 169,5 millions de tonnes, soit une hausse de 14,7 % par rapport à la récolte précédente. La production totale de maïs, compte tenu des trois récoltes, devrait atteindre 132 millions de tonnes, soit une hausse de 14,3 %.
Surveillance des frontières L'Agence nationale des transports fluviaux (ANTAQ) a inspecté le poste frontière international entre Oiapoque (AP) et Saint-Georges, ville située à 200 km de Cayenne, capitale de la Guyane française. Des enquêtes et des inspections ont été menées sur le service de traversée et sur les documents des navires et des conducteurs. Toutes les irrégularités constatées ont été corrigées au cours de l'opération.
Sécurité Parmi les non-conformités constatées par les inspecteurs figuraient : des documents incomplets (pour le navire et le conducteur), l'absence d'autocollants sur les catamarans contenant des informations importantes relatives au transport, et l'absence de billets remis aux passagers lors de l'achat. « Cette traversée est essentielle. Des passagers et des marchandises sont transportés. De nombreux étudiants brésiliens utilisent ce service pour étudier en France. Par conséquent, le travail d'Antaq à Oiapoque est socialement crucial pour garantir un service adéquat », a souligné Renan Santos, responsable de l'unité régionale de Santana, qui a dirigé l'opération.
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